Etudiante en médecine excitée

Catégories : Champagne doré pipi culotte uro Golden shower FETICHISMES au pluriel Enema Lavement / Médical
il y a 8 ans

C'était en mai 2014, j'avais 21 ans. Un après-midi du moi de mai, dans une salle de cours de la fac de médecine, on était une quarantaine d'étudiants à écouter le prof nous faire un cours d'urologie. Programme du jour : les troubles de l'érection. Avec son lot de blagues sexistes, bien sur. Le prof est un jeune assistant hospitalier d'une trentaine d'années, assez séduisant physiquement, mais arrogant, le genre de type qui m'insupporte. Ça ne fait pas trente minutes qu'il est la, et il a déjà réussi à caser une bonne dizaine de remarques machistes. Mais je ne suis pas très concentrée sur le cours. A quelques mètres de mois, il y a Jules. Un mec de ma promo, pas particulièrement intelligent, voir même très con des fois. Le genre de déchets de soirée qu'on retrouve en PLS couvert de vomi dans un coin de la boîte, et qui a essayé de baiser une dizaine de filles dans les toilettes. Pas particulièrement mignon non plus. Visage assez banal. Cheveux bien trop longs et bouclés. Et on voit qu'il se laisse aller au niveau vestimentaire. Même pas spécialement musclé. Mais pour une raison que j'ignore, j'étais attirée par lui.

Donc en cet après-midi de printemps, je l'observait à quelques rangées de moi, l'imaginant en train de me baiser salement dans les toilettes de la fac. Salement, parce-que c'est ce qu'il m'inspirait avec ses blagues de cul à tout va et son allure négligée. J'imaginais le scénario : je sortais de la salle prétextant une envie d'aller aux toilettes, il sortait à son tour, un regard échangé dans le couloir, et hop nous nous jetions l'un sur l'autre, il me poussait dans les toilettes et je lui suçait la bite jusqu'à ce qu'il éjacule dans ma bouche. Rien que d'y penser, une vague de chaleur m'envahit, je me tortille sur ma chaise, sentant ma culotte se tremper. C'est le prof qui me tire de mes pensées.

« Alors, quelle est la première question à poser à un patient venant pour troubles de l'érection ? Mademoiselle ? ».

Mince, c'est à moi qu'il s'adresse. Quelle tuile, j'ai rien écouté. « Heu, j'sais pas.. »

  • « Remarquez, c'est normal, avec une poitrine pareil vous n'avez pas du être confrontée à ce problème très souvent ».

Rires dans la salle. « Ha-ha, très drôle » je réponds, furax et rouge comme une pivoine. Quel crétin. Cette remarque aura au moins eu le mérite d'attirer un peu l'attention sur moi. Je crois apercevoir Jules jeter un regard furtif sur ma poitrine. C'est vrai que mon décolleté est assez voyant. J'évite son regard et me mordille les lèvres en espérant qu'il le remarque. A la fin du cours, dans le brouhaha général, je range lentement mes affaires. Je sors dans les derniers, Jules n'es pas loin derrière. Je marche lentement, espérant qu'il me rattrape. Soudain, je sens une tape sur l'épaule. « Salut ! ». C'est lui. « Salut Jules ! » - « Quel con ce prof à parler de ta poitrine en plein cours.. Ca se fait pas ! » - « Ouai, c'est un crétin. » - « Même si il a raison sur un point, t'as une poitrine superbe.. » . Mon cœur s'accélère. Mince, il me drague la ou je rêve ? « Possible, mais tu l'as jamais vu, je vois pas comment tu pourrais en juger.. ». Je regrette ces mots à peine sont-ils sortis de ma bouche. Quelle conne, il va s'imaginer que je lui fais des avances.. Il rit nerveusement. « Haha, ça peut s'arranger, j'aimerais beaucoup la voir » dit-il d'un ton moqueur. J'arrive pas à savoir si il plaisante ou pas. Je suis de plus en plus excitée, j'essaye de le cacher au mieux et de ne pas perdre la face. On passe devant la BU. J'avais prévu de rentrer chez moi, mais voyant qu'il s'y dirige, je décide d'y aller. « Tu vas a la BU ? » me lance-t-il.

« Oui ». Je me sens d'humeur joueuse.

On s'assoit face à face sur une table près de l'entrée. Je sors mon livre et fais semblant de me concentrer, mais je suis incapable de penser à autre chose qu'à lui. J'ouvre le livre sur la page de cours du jour, et oh joie, il y a un schéma de pénis en première page.. Je fais semblant de regarder attentivement mon livre, je sens qu'il m'observe, je me mordille les lèvres et prend soin d'effleurer lentement le schéma de pénis avec mon doigt en tournant la page. Je ne peux m'empêcher de jeter des regards furtifs sur son entrejambe, j'ai l'impression qu'il s'en aperçoit. Penchée en avant, mon décolleté est bien mis en valeur, je sens son regard s'y attarder.

Soudain, je me lève et lui dit « T'as un mouchoir ? Il faut que j'aille aux toilettes » - « Heu, oui. Attend, je dois y aller aussi, je t'accompagnes ». Yes. On sort de la BU et se dirige vers les toilettes. Mes jambes tremblent et mon cœur bat super fort. Arrivés devant les toilettes, il me tend un mouchoir, puis me dis « Attend, tu as quelque-chose dans les cheveux ». Sa main effleure mes cheveux, il se rapproche et m'embrasse. Je glisse ma main dans sa nuque et lui rend son baiser. Il ouvre la porte des toilettes, on s'y engouffre tout les deux, il me plaque contre le mur et m'embrasse de plus en plus fort, je lache des petis « humm » pour lui montrer mon excitation. Il a compris le signal. Il glisse une main dans mon décolleté. Ma respiration s'accélère, je glisse une main sous son tee-shirt, d'abord dans son dos, puis son torse, en descendant juste au dessus de la ceinture. Il gémit.

Je glisse une main dans son caleçon au niveau de ses fesses, et commence à les malaxer. Il glisse alors sa main dans ma culotte, et commence des va-et-vient avec ses doigts entre mon clitoris et mon vagin. Je respire de plus en plus fort, et ouvre sa braguette. Je sens son pénis déjà bien dur à travers son caleçon, il l'appuie sur mon ventre. Je sors son pénis et commence à le masturber, puis je me décolle de Jules, le plaque dos au mur, m'accroupis et commence à le sucer goulûment. Il émet des petits râles qui me font penser qu'il apprécie. Je le pompe vigoureusement, il appuie ma tête contre son pubis, enfonce son sexe au fond de ma gorge et commence à murmurer « T'aimes ça hein, oh oui, vas-y suce-moi salope, humm, vas-y ! ». Et puis, sans crier gare, il éjacule dans ma bouche en poussant un long râle de satisfaction.

J'avale tout le sperme, puis nous nous rhabillons en reprenant nos esprits. On sort des toilettes sans dire un mot. En marchant dans le couloir qui mène à la BU, on échange quelques regards et sourires complices. Je me rassois à ma table comme si de rien n'étais, et Jules s'approche de moi et me glisse dans l'oreille : « Tu suces divinement bien.. ». Je souris, puis lui dit à mon tour « J'habite pas loin tu sais.. ». Message reçu, on range nos affaires et il me suit hors de la BU. Sur le trajet qui mène jusqu'à chez moi, on parle des cours, des stages à l'hôpital, de la pluie et du beau temps, comme si il ne s'était rien passé. Arrivés dans ma petite chambre d'étudiante, il pose ses affaires et reste planté comme un con devant la porte, gêné. J'enlève ma veste, puis le regarde malicieusement en enlevant mon tee-shirt, puis mon soutient-gorges : « Tu voulais les voir : voilà ! ». Il se mordille les lèvres et s'approche pour m'embrasser. Il enlève son tee-shirt, puis je lui enlève son pantalon, j'enlève le mien et nous voilà en culotte et caleçon.

Je l'assois sur le lit et m'assois sur lui jambes écartées, collant nos sexes. On s'embrasse de plus belle, en gémissant sans retenue. Je sens son sexe qui durcit, lui sens ma culotte humide. « Hum, tu mouilles, t'as envie de ma bite hein ! ». Je gémis en signe d'approbation, nos bassins commencent des mouvements de va-et-vient au rythme de nos respirations. Je l'allonge sur le lit et sors sa bite, la caresse, la lèche, puis il me retourne sur le lit, m'enlève ma culotte, m'écarte les cuisses et commence à me caresser le clitoris, à glisser un doigt dans mon vagin. « Tu veux que j'te baise hein ! Vas-y, dit-le ! » - « Humm oh oui, baise-moi ! ». Il enfonce sa bite d'un coup sec et commence à me pénétrer de plus en plus fort. Je ferme les yeux, pousse des petits cris de plaisir, tandis qu'il gémis sans retenue. Puis un spasme de plaisir me traverse le ventre, je sens mon vagin se contracter autour de son pénis et pousse un gémissement, il sors alors son sexe de mon ventre et le poste juste au dessus de mon corps, le tenant d'une main, me regarde dans les yeux et dans un râle de plaisir éjacule sur mes seins. Sans dire un mot, il se lève et se rhabille lentement. Il prend ses affaires, ouvre la porte, me lance un « Salut ! » avec un sourire en coin, et me plante la, nue et couverte de sperme. Je me masturbe comme une folle en repensant à cette journée, en m’étalant son sperme sur le corps.

Le lendemain après-midi, j'arrive en cours, stressée à l'idée de le croiser, à la fois honteuse et excitée.. Je me suis pomponnée, j'ai mis une jupe assez courte sans culotte en dessous, et un petit haut décolleté. Je m'assois à côté d'une amie. Il n'est pas encore la. Enfin, je le vois arriver. Il me lance un regard complice, un petit sourire en coin, et s’assoie à une table non loin de la mienne. Le cours commence, on se lance des petits regards timides. Des images de la veille me reviennent à chaque fois que je croise son regard. Je le revois en train de m'éjaculer dessus, je rougis et commence à mouiller... La, je le vois sortir son portable. Je sors le mien aussi, il me parle sur facebook. « Salut ! » - « Salut, ça va ? ». Je le regarde en souriant, il a l'air nerveux, ne sait pas quoi répondre. « Ca va . C'était bien hier... ». Je souris.

Il me regarde tout fébrile, attendant ma réponse. Je prend mon temps, exprès, je veux le faire mariner un peu. Puis j'envoie « J'ai encore le goût de ton sperme dans la bouche. Hâte de te sucer à nouveau.. ». Mon message fait son petit effet. Il semble tout retourné. « Et moi j'ai envie de te caresser la poitrine. Et ta jupe me fais un de ces effets.. Je sens mon sexe grossir rien qu'en voyant tes cuisses. ». Je sens une vague de chaleur qui monte en moi. Je me tortille sur ma chaise, et remonte un peu ma jupe.. J'envoie : « J'ai rien en dessous ». Puis je me re-plonge dans le cours, attendant impatiemment la fin.. A 16h, je profite de l'intercours pour m'éclipser, prétextant à mon amie un mal de crane. Évidemment, il me suit. Il me glisse « On va chez moi si tu veux ». J'accepte, et nous voilà partis marchant côte à côte. Il profite d'un couloir vide pour s'arrêter et me dire « T'as vraiment rien en dessous ? ». Je prend sa main et la glisse sous ma jupe, il caresse mon sexe déjà bien humidifié, puis ressort sa main et lèche ses doigts. Tout excités, nous pressons le pas, impatients d'arriver chez lui. On se parle à peine pendant le trajet, mais de temps en temps on se lance des regards complices, plein d'attentes et de promesses..

Enfin arrivés, on jette nos affaires. Il enlève son pantalon et son caleçon et s'assoit sur une chaise, nu, les jambes écartées : « Vas-y, suce-moi ». Je m'accroupis entre ses jambes et m’exécute. Je pompe vigoureusement sa bite puis lui lèche les couilles. « Humm, vas-y, suce mes couilles ». Il gémit de plus en plus, je me masturbe en même temps. Je reprends son sexe en bouche. Soudain, enfonçant son sexe plus profondément dans ma bouche, il lâche un jet d'urine. « Aaah, avale ma pisse salope ! ». Surprise, j'avale d'une gorgée. Je remonte ma jupe, découvrant totalement mon sexe, et me masturbe jambes écartées. Il sort son sexe de ma bouche et se met debout face à moi, jambes écartées, se tenant la bite, puis commence à me pisser dessus, d'un jet fort, d'abord sur les seins puis descend jusqu'à mon sexe. Je n'en reviens pas, il me pisse littéralement dessus ! « Je sais que t'aimes ça hein, t'aimes ma pisse petite crasseuse ! » Je me masturbe de plus belle. Quand il a terminé, je me tourne à quatre pattes sur le sol, face à la glace. Il me prend en levrette, me pénétrant vigoureusement, les mains sur mes seins.

Je peux l'observer me pénétrer dans la glace, ça m'excite encore plus. Je vois son visage se tendre, il émet un petit cris et se retire juste avant d'éjaculer sur mes fesses. Il s'allonge sur le lit, me fais signe de le rejoindre. J'enlève mes habits pleins de pisse et de sperme et m'approche. « Nettoie ma bite », me dit-il. Je lèche les dernières traces de pisse et de sperme sur sa bite et sur ses couilles, puis je m'allonge nue à ses côtés. Il m'embrasse langoureusement en me masturbant. Je m'allonge sur lui en frottant mon sexe sur son bas ventre, puis place sa main entre mes jambes et me lâche à mon tour, lui pissant allégrement dessus. Je sens son sexe durcir à nouveau contre mes fesses, je le chevauche et commence des mouvements de bassins de plus en plus rapides. Il me donne des petites tapes sur les fesses et caresse mes seins. Je ne tarde pas à jouir.

Je me retire et m'allonge à côté de lui, il s'accroupit alors au dessus de moi, plaçant sa bite à quelques centimètres de mon visage, et termine de se masturber, puis éjacule sur mon visage et mes cheveux. Fatigués mais heureux, nous allons ensuite nous doucher, sans un mot. Puis on sort en peignoir et s'assoit sur le bord du lit. « C'est la première fois que je pisse sur ma partenaire.. » me lance-t-il. « Pareil.. mais c'était très excitant.. » - « T'es une vraie petite cochonne en fait.. Tu caches bien ton jeu ! » - « Et toi un gros pervers dégoûtant.. J'en reviens pas d'être attirée par toi ! » - « Il faudra qu'on remette ça.. En attendant j'aurais qu'à penser à tout ce qu'on a fait en me branlant, c'était vraiment sale et trop bon.. » dit-il avec un sourire en coin. Je me rhabille avec mes vêtements trempés, prend mes affaires, on s'embrasse langoureusement pour se dire au revoir. Depuis, nous avons recommencé de nombreuses fois, chez moi, chez lui, à la fac, expérimentant chaque fois de nouvelles choses..

Louise123

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